Etretat (Seine-maritime)
Pays de Caux
1291 hab
La falaise d'aval
C'est un ancien cours d'eau qui a creusé la falaise qui a permis de nommer l'val et l'amont 
La falaise d'amont
La chapelle des marins

 
La chapelle de style néo-gothique et sa nef en forme de carène fait référence à la vocation de lieu de culte pour les marins de l’endroit. 
 
Silhouette de pierre, coiffée d’un toit à deux pentes, recouvert d’ardoises, et aux façades en pierre de taille, ornée de gargouilles à têtes de poisson. 
 
Elle fut édifiée à la suite d’une mission prêchée par le Révérend Père Michel en 1854, les habitants décidèrent d’élever une chapelle dédiée à la Sainte Vierge. Les marins portèrent à dos et à bras les matériaux destinés à l’édifice. 
Le 6 août 1856, elle fut bénie chapelle des pêcheurs et des marins. 
 
L’occupant allemand décida de sa destruction en 1942. 
 
C’est seulement après sa reconstruction en 1950, qu’elle sera rebaptisée sous son nom actuel de « Notre Dame de la Garde » lors d’une bénédiction faite par Monseigneur Martin, alors archevêque de Rouen et sous l’égide de René Coty, Vice Président du Conseil de la République.

[source : comité régional du patrimoine maritime normand]
Le village
Arsène Lupin
Maurice Leblanc, créateur d'Arsène Lupin a vécu à Etretat.
Les falaises d'Etretat ont servi de décor à l'un de ses romans : "L'aiguille creuse"
Coucher de soleil à Etretat